Sarkozy en prison : panique chez les politiques

Des personnalités de droite et d'extrême-droite dénoncent l’exécution provisoire de la peine infligée à l'ex-président Nicolas Sarkozy dans l’affaire libyenne. | Photomontage Off Investigation

Aussitôt Nicolas Sarkozy condamné à cinq ans de prison ferme dans l’affaire libyenne, des élus de droite et d’extrême-droite ont attaqué bille en tête l’exécution provisoire de la peine de l’ancien président. Des prises de position très intéressées…

Un vent de panique traverse une partie de la classe politique française après la condamnation en première instance de Nicolas Sarkozy ce jeudi 25 septembre à cinq ans de prison ferme. Le verdict, inédit par sa sévérité, qui plus est envers un ex-chef de l’Etat, semble faire trembler des élus. Surtout à droite et à l’extrême-droite. Au point que des voix se font entendre pour réclamer une grâce présidentielle à Emmanuel Macron.

C'est le cas du sénateur LR Stéphane Le Rudulier, rejoint par Henri Guaino, l'ancien conseiller spécial et plume de Sarko. « Il pourrait être gracié sur la peine complémentaire, l'exécution provisoire », glisse-t-il au lendemain de la déflagration judiciaire. Il avait déjà appelé l'actuel président à gracier Marine Le Pen après l'exécution provisoire prononcée par la justice en première instance.

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