Plombé par ses mails, Alexis Kohler joue la prescription



Kohler
Alexis Kohler au palais présidentiel Bellevue à Berlin (Allemagne) le 26 mai 2024 (Photo Stephane Lemouton, Pool/AFP)

En amont d’une potentielle prescription partielle de l’affaire de « prise illégale d'intérêts » qui vise Alexis Kohler, le journaliste Marc Endeweld a révélé de nouveaux éléments susceptibles d’affaiblir la défense de l'actuel secrétaire général de l'Élysée. Publiées par Marianne, les révélations de notre confrère se heurtent pour l’heure à un écho médiatique limité.

L’affaire Kohler refait surface à l’approche d’une décision de la cour d'appel de Paris qui doit se prononcer sur la prescription d’une partie des faits qui sont reprochés au bras droit d’Emmanuel Macron. Mis en examen en 2022 pour « prise illégale d'intérêts », il est soupçonné d’avoir participé à des décisions concernant la compagnie maritime italo-suisse MSC, avec la direction de laquelle il entretient des liens intimes de longue date et dont il fut directeur financier d’une filiale, de 2016 à 2017, avec un salaire allant de 28 000 à 40 000 euros brut par mois.

PNF et avocats de Kohler, main dans la main ?

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