
Fascination pour l’assaut contre le Capitole américain en 2021, glorification de l’assassinat de Jules César par Brutus en 44 av. JC, ferveur pour les Croisades chrétiennes. Voilà ce que ses tatouages disent de Louis Sarkozy, le fils de son père, qui brigue la mairie de Menton en mars 2026.
Louis Sarkozy sature l’hémisphère droit de l’espace médiatique. Alors qu’il se lance dans la course à la mairie de Menton, dans les Alpes Maritimes, le fils de Nicolas Sarkozy cumule une chronique dans le très droitier hebdomadaire Valeurs actuelles, un poste de chroniqueur sur LCI (la chaîne de son parrain, Martin Bouygues), un podcast sur le média belge 21News financé par Lagardère et Vincent Bolloré comme l’a révélé Libération… Le jeune homme de 28 ans, qui se revendique « plus à droite que (son) père », donne son avis sur tout et n’importe quoi. Aux Etats-Unis, pays où il a grandi aux côtés de sa mère, Cécilia Ciganer, et de son beau-père, Richard Attias, il hériterait du sobriquet de « nepo baby », contraction de « nepotism baby » que l’on peut traduire poliment par « fils de ».